timjak2014

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Mars 2014 - Chasse au trésor aux îles vierges américaines

Nous avons réussi à passer sans trop de difficultés en territoire américain en expliquant que nous venions pour des vacances, nous avions dit à notre ami « le lapin mercury » d'être discret : tout juste a-t-il fait un petit « crunch crunch yeah ! » de politesse. Sachant que toute l'île de St John était protégé par le parc national, impossible de prélever quoi que ce soit donc on s'est contentés de questionner Morgan l'âne bodybuildé, assez bête d'ailleurs, et Brian l'iguane (*cf photo) qui était tout fier de nous expliquer que les pics sur son dos lui étaient bien utiles pour récupérer les frites tombées par terre dans le resto du coin : tu parles d'un animal sauvage !

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Bref notre recherche piétine, on se réconforte en mangeant quelques langoustes à St Thomas en réfléchissant aux moyens d'obtenir de nouveaux indices et puis on pense à la radio, on tourne le bouton de l'auto radio et on a la chance de tomber sur « radio pirate » (*cf photo). On essaye de comprendre ce qui se dit mais c'est pas facile parce que nos leçons d'anglais datent de l'école 

 

 

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et c'est loin (mais on aurait vraiment dû apprendre mieux à cette époque, surtout le capitaine guillaume!) et en plus leur accent américain, c'est du « chewingum ».  

Bref aidés du dictionnaire on arrive à comprendre qu'un bateau pirate aux voiles rouge sillonne les côtes.

 

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 Dès le lendemain, jour de la régate on sort pour croiser un maximum de bateau, le capitaine Guillaume zigue-zague parmis eux mais ils sont trop moderne avec des moussaillons habillés en fluo, pas d'époque quoi. Et puis au loin on aperçoit, comme dans un film, un galion aux voiles rouge ouahou ! 

On sort les jumelles pour vérifier qu'il y ait bien un drapeau pirate : rien, et puis à bien y regarder on vois tout un tas de touristes en gilet de sauvetage fluo alignés avec des boissons à la main (un peu les même que sur la rivière en Dominique pour ceux qui suivent). C'est raté, il ne doivent rien savoir, on ne prend même pas la peine de se dérouter, on poursuit en ne perdant pas espoir mais bon il ne faut pas traîner, nous sommes déjà à la moitié de notre parcours en bateau, dans 4 mois retour sur la terre ferme.



07/05/2014

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